Proverbes arabes
Voici une liste de proverbes arabes parmi les plus connus
C’est la vue du mur qui donne l’envie au bouc de se gratter.
Le crâne du chauve est proche de Dieu.
Le linceul n’as pas de poches.
Si tu rencontres deux êtres qui vivent en harmonie, sois sûr que l’un d’eux est bon.
Quand le chat et la souris vivent en bonne intelligence, les provisions en souffrent.
Une main toute seule ne peut pas applaudir.
Si tu rencontres ton ami, monté sur un bâton, félicite-le pour son cheval.
ça ne sert à rien de convoiter une chose qui n’est pas à nous.
Il y a deux sortes de gens : ceux qui peuvent être heureux et ne le sont pas, et ceux qui cherchent le bonheur sans le trouver.
Chercher à se justifier quand on n’est pas coupable, c’est s’accuser
La bave du crapaud ne saurait atteindre la pureté de la blanche colombe.
Qui a une langue subtile, tétera la lionne.
Les fainéants ont toujours des solutions pour éviter de se bouger.
Se dit du fait d’abandonner une besogne sous prétexte que c’est impossible.
Comme la fille de la chamelle, ni pendentif ni boucle d’oreille.
Marcher comme penser, sourire pour rire, n’ouvre toute grande la bouche que la fille de la mule.
La femme une porte, et l’homme sa clef.
La femme une maison, et l’homme sa porte.
Parlez-moi de ce qui me plaît, même si vous mentez.
A toi la galette très fine, à moi le repas deux fois.
Ne reste dans l’oued que ses cailloux.
La tête de l’orphelin est près du bon Dieu.
Benêt, qui a cuit un ?uf, Benêt qui espère en manger.
Ce n’est pas parce qu’il étudie qu’il ne se soulage pas, ce n’est pas parce qu’il prie que Dieu il ne craigne pas.
Lorsqu’il était vivant, il n’avait même pas une datte. Lorsqu’il est mort, on lui offrit tout un régime.
Suis le conseil de celui qui te fait pleurer, et non de celui qui te fait rire
Soit un ogre, dusses-tu nous dévorer.
Je n’aime pas mon frère ; mais pas plus ses adversaires.
Un peuple qui ignore ses repères est un peuple égaré.
Celui qui dort sur un tapis de haute laine dit que l’hiver est chaud.
Mieux vaut l’eau avec laquelle tu t’es lavé que celle que t’a bu.
Le bonheur est comme l’argile et le sable, celui qui a un champ d’argile profitera de l’herbe.
Le faible sert le fort.
Toute chose a sa fin.
Un peuple sans culture, c’est un homme sans parole.
Nous nous comportons selon notre éducation.
N’oublies pas d’où tu viens.
Même si un jour, on guérira de toutes les maladies du monde, la mort restera toujours à vaincre.
J’ai voulu qu’il me tende la main, mais lui me tombe dessus.
Dis la vérité une fois et tu peux mentir jusqu’à ce que tu meures.
L’arbre a dit à la hache : Tu me fais mal. Elle lui a répondu : C’est toi qui m’as offert le manche.
L’eau c’est la vie et le lait c’est la survie.
Dans ton terroir, tu es considéré en fonction de ta présentation extérieure.
Qui construit une maison, le fait avec les pierres de sa région.
Dis une chose pareille à un âne, il ricanera.
Jette le tison, il emportera avec lui la fumée.
Si tu as de nombreuses richesses, donne de ton bien ; si tu possèdes peu, donne de ton c’ur
La cendre a hérité du bûcher.
L’âne ne fréquente pas les mosquées.
Celui qui regarde en bas (ou plutôt derrière) restera en bas.
Ce sont les trous creusés par les rats qui ont fait tomber le cheval.
S’il a volé, j’étais présente, s’il a juré, je l’ai cru.
Etre dans la forêt, vaut mieux qu’être obligé de rester au milieu d’un mauvais pays.
C’est en grandissant que l’ânon devient un bourricot.
Hier on avait les terres, ils avaient le Coran ; maintenant on a le Coran, ils ont les terres.
Ce que les parents disent de bon ou mauvais, les enfants vont le répéter.
Celui qui frappe n’attend pas à ce que vous lui donnez la pierre.
S’il avait des cornes, il trouerait le ciel.
Je me fatigue du chic et jamais d’être à la hauteur.
La prière vient après le repas.
Avec une seule fève, on ne peut pas préparer la soupe.
Celui qui attend, n’aura pas faim.
Il n’y a rien sans rien.
Tout ce que tu laboures, tu le moissonnes.
La faucille reste toujours une faucille, même si on la change le manche.
L’agneau qui deviendra un bon mouton, se remarque dans le troupeau.
Celui qui veut voyager, prépare ses valises le soir.
On ne doit pas laisser son travail à la dernière minute.
Elle a laissé son mari mort et elle est partie consoler les autres pour leur mort.
La galette doit rester complète et les enfants n’auront pas faim.
Ne t’irrite que tes sous-vêtements.
L’orphelin est content d’avoir reçu un petit morceau d’intestin.
Prend en compte les paroles de celui qui t’a fait pleurer non pas celles de celui qui t’a fait rire.
Celui qui veut du miel, il lui faut patienter à la piqure des abeilles.
Le secret qui dépasse une personne n’est plus un secret mais une information pour tout le monde.
Tout ce qui vient d’un don est un surplus pour lui.
Les mots peuvent faire plus mal qu’une blessure.
Celui qui est riche peut acheter tout ce qu’il veut, même la conscience des gens.
S’identifier d’abord, manger après.
Respecte-moi et je ferai tout pour toi.
Mdah sahbak maâ nass ouloumou rass frass Loue ton ami en public et critique le en tête-à-tête.
Celui qui veut frapper le chien, doit rappeler d’abord son propriétaire.
C’est la petite branche d’arbre que tu négliges, qui te blessera l’oeil.
Tue le lézard, avant qu’il ne devienne serpent.
Elle verse les larmes, telle une ogresse qui a dévoré ses petits.
L’eau ne peut pas monter la pente.
Le peureux fait peur.
Le forgeron forge et son fils apprend.
Celui qui a mangé sa part, ferme les yeux.
Ils ont inventé le moulin, dès lors qu’il ne pouvaient plus manger l’orge dur.
Les poulets à vendre le jeudi doivent être capturés le mercredi.
C’est du pareil au même (KIF KIF).
Gourmand comme le feu, ses genoux sont faibles.
L’un est en train de brûler par le feu, l’autre se réchauffe.
Un oiseau dans la main, vaut mieux que dix dans le ciel.
Celui qui ne sait pas d’où il vient, ne sait pas non plus où il ira.
Un ennemi savant vaut mieux qu’un ami ignorant.
Les mouches ne font pas de miel.
Il ne faut pas sous-estimer ses adversaires et plus généralement il ne faut pas se considérer au centre de la terre.
Pour avoir la moelle, il faut briser l’os.
On ne quittera jamais le territoire des loups.
Le mot que tu retiens entre tes lèvres est ton esclave. Celui que tu prononces est ton maître
Tout ce qu’un berger reste sans bouger, il le court.
Offrez aux rassasiés de manger davantage.
Balayes là où tu veux tomber.
Si quelqu’un te veux quelque chose, il vient chez toi en pleurant et en réclamant.
Les eaux coulent vers les lacs.
Le bélier qui va te cogner, est encore en train de prendre son élan.
Plutôt rompre que de se plier
Grâce aux gouttes de pluie, la rivière sort de son lit.
Si la parole est d’argent alors le silence est d’or.
Vise toujours la lune, même si tu rates, tu atterriras parmi les étoiles.
Ne fais jamais rien dans la colère : hisserais-tu les voiles dans la tempête.
Qui ne se plante jamais n’a aucune chance de pousser.
La mort d’une bonne action, c’est d’en parler.
Le temps sera le maître de celui qui n’a pas de maître.
Le mot que tu retiens entre tes lèvres est ton esclave. Celui que tu prononces est ton maître.
Embrasse la main que tu ne peux couper.
Allonge tes pieds en proportion de ton tapis.
Ce que tu ne veux pas laisser savoir à ton ennemi, ne le dis pas à ton ami.
Il y a deux sortes de gens: ceux qui peuvent être heureux et ne le sont pas, et ceux qui cherchent le bonheur sans le trouver.
Jette ton c’ur loin devant toi ; et cours l’attraper.
Ce que fait la main droite, la main gauche n’a pas à le savoir.
C’est par ses branches que l’homme révèle ses racines.
La calomnie est l’arme ultime de l’impuissant.
Toutes choses sont difficiles avant que d’être faciles.
La dureté du c’ur vient de la satiété.
La cupidité est un éternel esclavage.
Nourrir trop d’espoir paralyse l’action.
On est plus le fils de son temps que de son père
C’est la vue du mur qui donne l’envie au bouc de se gratter.
Le crâne du chauve est proche de Dieu.
Le linceul n’as pas de poches.
Si tu rencontres deux êtres qui vivent en harmonie, sois sûr que l’un d’eux est bon.
Quand le chat et la souris vivent en bonne intelligence, les provisions en souffrent.
Une main toute seule ne peut pas applaudir.
Si tu rencontres ton ami, monté sur un bâton, félicite-le pour son cheval.
ça ne sert à rien de convoiter une chose qui n’est pas à nous.
Il y a deux sortes de gens : ceux qui peuvent être heureux et ne le sont pas, et ceux qui cherchent le bonheur sans le trouver.
Chercher à se justifier quand on n’est pas coupable, c’est s’accuser
La bave du crapaud ne saurait atteindre la pureté de la blanche colombe.
Qui a une langue subtile, tétera la lionne.
Les fainéants ont toujours des solutions pour éviter de se bouger.
Se dit du fait d’abandonner une besogne sous prétexte que c’est impossible.
Comme la fille de la chamelle, ni pendentif ni boucle d’oreille.
Marcher comme penser, sourire pour rire, n’ouvre toute grande la bouche que la fille de la mule.
La femme une porte, et l’homme sa clef.
La femme une maison, et l’homme sa porte.
Parlez-moi de ce qui me plaît, même si vous mentez.
A toi la galette très fine, à moi le repas deux fois.
Ne reste dans l’oued que ses cailloux.
La tête de l’orphelin est près du bon Dieu.
Benêt, qui a cuit un ?uf, Benêt qui espère en manger.
Ce n’est pas parce qu’il étudie qu’il ne se soulage pas, ce n’est pas parce qu’il prie que Dieu il ne craigne pas.
Lorsqu’il était vivant, il n’avait même pas une datte. Lorsqu’il est mort, on lui offrit tout un régime.
Suis le conseil de celui qui te fait pleurer, et non de celui qui te fait rire
Soit un ogre, dusses-tu nous dévorer.
Je n’aime pas mon frère ; mais pas plus ses adversaires.
Un peuple qui ignore ses repères est un peuple égaré.
Celui qui dort sur un tapis de haute laine dit que l’hiver est chaud.
Mieux vaut l’eau avec laquelle tu t’es lavé que celle que t’a bu.
Le bonheur est comme l’argile et le sable, celui qui a un champ d’argile profitera de l’herbe.
Le faible sert le fort.
Toute chose a sa fin.
Un peuple sans culture, c’est un homme sans parole.
Nous nous comportons selon notre éducation.
N’oublies pas d’où tu viens.
Même si un jour, on guérira de toutes les maladies du monde, la mort restera toujours à vaincre.
J’ai voulu qu’il me tende la main, mais lui me tombe dessus.
Dis la vérité une fois et tu peux mentir jusqu’à ce que tu meures.
L’arbre a dit à la hache : Tu me fais mal. Elle lui a répondu : C’est toi qui m’as offert le manche.
L’eau c’est la vie et le lait c’est la survie.
Dans ton terroir, tu es considéré en fonction de ta présentation extérieure.
Qui construit une maison, le fait avec les pierres de sa région.
Dis une chose pareille à un âne, il ricanera.
Jette le tison, il emportera avec lui la fumée.
Si tu as de nombreuses richesses, donne de ton bien ; si tu possèdes peu, donne de ton c’ur
La cendre a hérité du bûcher.
L’âne ne fréquente pas les mosquées.
Celui qui regarde en bas (ou plutôt derrière) restera en bas.
Ce sont les trous creusés par les rats qui ont fait tomber le cheval.
S’il a volé, j’étais présente, s’il a juré, je l’ai cru.
Etre dans la forêt, vaut mieux qu’être obligé de rester au milieu d’un mauvais pays.
C’est en grandissant que l’ânon devient un bourricot.
Hier on avait les terres, ils avaient le Coran ; maintenant on a le Coran, ils ont les terres.
Ce que les parents disent de bon ou mauvais, les enfants vont le répéter.
Celui qui frappe n’attend pas à ce que vous lui donnez la pierre.
S’il avait des cornes, il trouerait le ciel.
Je me fatigue du chic et jamais d’être à la hauteur.
La prière vient après le repas.
Avec une seule fève, on ne peut pas préparer la soupe.
Celui qui attend, n’aura pas faim.
Il n’y a rien sans rien.
Tout ce que tu laboures, tu le moissonnes.
La faucille reste toujours une faucille, même si on la change le manche.
L’agneau qui deviendra un bon mouton, se remarque dans le troupeau.
Celui qui veut voyager, prépare ses valises le soir.
On ne doit pas laisser son travail à la dernière minute.
Elle a laissé son mari mort et elle est partie consoler les autres pour leur mort.
La galette doit rester complète et les enfants n’auront pas faim.
Ne t’irrite que tes sous-vêtements.
L’orphelin est content d’avoir reçu un petit morceau d’intestin.
Prend en compte les paroles de celui qui t’a fait pleurer non pas celles de celui qui t’a fait rire.
Celui qui veut du miel, il lui faut patienter à la piqure des abeilles.
Le secret qui dépasse une personne n’est plus un secret mais une information pour tout le monde.
Tout ce qui vient d’un don est un surplus pour lui.
Les mots peuvent faire plus mal qu’une blessure.
Celui qui est riche peut acheter tout ce qu’il veut, même la conscience des gens.
S’identifier d’abord, manger après.
Respecte-moi et je ferai tout pour toi.
Mdah sahbak maâ nass ouloumou rass frass Loue ton ami en public et critique le en tête-à-tête.
Celui qui veut frapper le chien, doit rappeler d’abord son propriétaire.
C’est la petite branche d’arbre que tu négliges, qui te blessera l’oeil.
Tue le lézard, avant qu’il ne devienne serpent.
Elle verse les larmes, telle une ogresse qui a dévoré ses petits.
L’eau ne peut pas monter la pente.
Le peureux fait peur.
Le forgeron forge et son fils apprend.
Celui qui a mangé sa part, ferme les yeux.
Ils ont inventé le moulin, dès lors qu’il ne pouvaient plus manger l’orge dur.
Les poulets à vendre le jeudi doivent être capturés le mercredi.
C’est du pareil au même (KIF KIF).
Gourmand comme le feu, ses genoux sont faibles.
L’un est en train de brûler par le feu, l’autre se réchauffe.
Un oiseau dans la main, vaut mieux que dix dans le ciel.
Celui qui ne sait pas d’où il vient, ne sait pas non plus où il ira.
Un ennemi savant vaut mieux qu’un ami ignorant.
Les mouches ne font pas de miel.
Il ne faut pas sous-estimer ses adversaires et plus généralement il ne faut pas se considérer au centre de la terre.
Pour avoir la moelle, il faut briser l’os.
On ne quittera jamais le territoire des loups.
Le mot que tu retiens entre tes lèvres est ton esclave. Celui que tu prononces est ton maître
Tout ce qu’un berger reste sans bouger, il le court.
Offrez aux rassasiés de manger davantage.
Balayes là où tu veux tomber.
Si quelqu’un te veux quelque chose, il vient chez toi en pleurant et en réclamant.
Les eaux coulent vers les lacs.
Le bélier qui va te cogner, est encore en train de prendre son élan.
Plutôt rompre que de se plier
Grâce aux gouttes de pluie, la rivière sort de son lit.
Si la parole est d’argent alors le silence est d’or.
Vise toujours la lune, même si tu rates, tu atterriras parmi les étoiles.
Ne fais jamais rien dans la colère : hisserais-tu les voiles dans la tempête.
Qui ne se plante jamais n’a aucune chance de pousser.
La mort d’une bonne action, c’est d’en parler.
Le temps sera le maître de celui qui n’a pas de maître.
Le mot que tu retiens entre tes lèvres est ton esclave. Celui que tu prononces est ton maître.
Embrasse la main que tu ne peux couper.
Allonge tes pieds en proportion de ton tapis.
Ce que tu ne veux pas laisser savoir à ton ennemi, ne le dis pas à ton ami.
Il y a deux sortes de gens: ceux qui peuvent être heureux et ne le sont pas, et ceux qui cherchent le bonheur sans le trouver.
Jette ton c’ur loin devant toi ; et cours l’attraper.
Ce que fait la main droite, la main gauche n’a pas à le savoir.
C’est par ses branches que l’homme révèle ses racines.
La calomnie est l’arme ultime de l’impuissant.
Toutes choses sont difficiles avant que d’être faciles.
La dureté du c’ur vient de la satiété.
La cupidité est un éternel esclavage.
Nourrir trop d’espoir paralyse l’action.
On est plus le fils de son temps que de son père
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Proverbes_arabes.doc
A part le plaisir intellectuel procuré par la lecture de ce trésor de sagesse, j’y ai trouvé de merveilleux exemples pour illustrer mon cours de grammaire.
Ensuite j’ai comparé certains de ces proverbes avec ceux des Roumains; par exemple, "Toutes les mouches ne font pas de miel."
Merci d’avoir créé le site.